Mais de quoi s’agit-il ?
La méthode et le logiciel
Le « Neurofeedback Dynamique » (= Dynamical Neurofeedback®) est une méthode d’apprentissage d’autorégulation du cerveau.
Cette méthode repose sur le fonctionnement du système nerveux central qui régit plusieurs sous-systèmes : cardiaque, hormonal, immunitaire…
Ainsi la régulation du système nerveux central va agir dans les domaines cognitifs, émotionnels, psychiques et moteurs.
Cette méthode s’appuie sur le principe de la plasticité neuronale du cerveau. Les neurosciences ont mis en évidence la capacité du cerveau à créer, défaire ou réorganiser les réseaux de neurones et les connexions entre les neurones.
La plasticité neuronale est une des découvertes récentes les plus importantes en neurosciences. Elle montre que le cerveau est un système dynamique, en perpétuelle reconfiguration.
NeurOptimal® est une technologie de pointe évoluée utilisant un logiciel mathématiques 4D qui favorise la plasticité, flexibilité et adaptabilité de notre cerveau.
C’est un outil innovant d’optimisation du cerveau.
Il aide à un entraînement cérébral et interagit avec le cerveau à raison de 256 fois par seconde.
Il est non invasif, indolore, doux et peut-être utilisé de façon régulière sans aucun danger.
Neuroptimal® vous aide à devenir plus performant, à réduire le niveau de stress, à apprendre plus efficacement et plus rapidement et à ressentir une meilleure forme physique.
Cet outil est utilisé dans le cadre d’une recherche de bien-être mais aussi pour aider à l’amélioration des performances et de la créativité.
Le système NeurOptimal® n’est pas un traitement médical, ni un outil de diagnostic.
On laisse le cerveau faire son travail et on observe les changements.

«Je choisis de prendre mon bien-être en urgence au lieu de prendre mon mal en patience.»
Citation détournée de Ludovic Soliman, conteur
Comment cela se déroule-t-il ?
Ce processus mesure l’activité corticale à l’aide du logiciel et de capteurs placés sur la tête et donne des informations en temps réel sur la façon dont le cerveau fonctionne.
Toute micro-anomalie détectée sera envoyée au cerveau « en miroir » afin qu’il fasse sien de s’autoréguler en retour.
Avec les bonnes informations, le cerveau peut naturellement s’optimiser.
Aucun courant électrique ne passe dans le cerveau, aucune stimulation cérébrale ou autre n’est opérée. La rétro-information est sans contenu et sans intention.

Grâce au principe de rétroaction qu’est l’interruption du son de la musique, le cerveau se régule de manière autonome.
Il n’y a aucun moyen de savoir dans quel ordre le cerveau va modifier ses connexions et aucun moyen de prédire les domaines dans lesquels les changements vont apparaître. Votre cerveau choisira ses priorités.
Dans la plupart des cas, l’amélioration est progressive et tient compte des particularités personnelles.
Les changements peuvent être subtils au début et demande un accompagnement et une observation précise.

Combien de sessions sont nécessaires ?
Le nombre ne peut être connu à l’avance. Il dépend de la plasticité cérébrale propre à chaque cerveau.
Chacun avance à son rythme et selon ses possibilités.
En général, il est conseillé de 10 à 20 séances mais la fréquence peut être variable.
Il n’est pas possible de pronostiquer à quel niveau le cerveau va réagir grâce à NeurOptimal®.
Mais nous ferons ensemble des points réguliers pour évaluer votre ressenti et affiner l’observation commune.
Ce sera à vous d’apprécier le rythme des sessions en fonction de vos envies et besoins.
Il est possible d’arrêter les sessions et éventuellement de reprendre à tout moment.
Les progrès resteront acquis et les effets perdureront.

Il se peut aussi que des évènements nouveaux de la vie puissent vous amener à ressentir de nouveau le besoin de vous faire accompagner pour quelques sessions afin de les traverser avec plus de facilités.
Même si l’on observe en général de très bons résultats, ils peuvent être impactés par certains facteurs comme le besoin de contrôle du client, de maintenir des bénéfices secondaires (le fait de ne pas forcément avoir envie d’aller mieux) ou, bien que rarement, une mauvaise communication avec le praticien.